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Education nationale - Page 3

  • ISLAMISME

    Nous posons, au préalable, deux postulats:pythecos-12.jpg
         1.- La France se doit d'accueillir les migrants, le refus serait trahir nos valeurs fondamentales humanistes.
         2.- Nous nous refusons à considérer tous les arabes de culture musulmane comme des islamistes radicaux, adeptes du djihad, soit ouvertement, soit sournoisement (la taqiya) - ce serait une injure faite aux dizaines de milliers de harkis, atrocement assassinés, pour s'être ouvertement déclarés fidèles à la France, une injure aux centaines de milliers de familles qui se sont réfugiées en métropole pour fuir la dictature militaire (toutes n'ont pas fui pour des raisons économiques), ce serait faire injure aux intellectuels - de culture musulmane - qui dénoncent le djihad, au mépris d'une fatwa.
         
    Toutefois, ne pas réagir, ne pas prendre les dispositions nécessaires risqueraient de conduire au suicide de notre République une, indivisible et laïque.
                                                     (Cet article fait suite à l'article précédent sur la laïcité)

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  • Education Nationale: langues anciennes

    singe-2.jpgLors de ses vœux, l'éminent linguiste, le belge Frédéric Blondieau, qui chaque semaine nous régale avec son blog, le dimanche indo-européen, (où l'humour se mêle toujours au sérieux, rendant cette discipline abordable par tous.... ) s'adresse aux enseignants français,  les engageant à poursuivre la lutte contre le ministère de l'Education Nationale et son projet aberrant de supprimer l'enseignement des langues anciennes.
    Un renfort de poids que nous transmettons avec plaisir et conviction.

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  • Réforme scolaire : arguments fallacieux, raisons profondes.

     

     

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    Dans un précédent article, nous avons pris la défense de l'enseignement du latin et du grec, en soulignant, (témoignage vécu), l'attrait ludique qu'il présente auprès de jeunes et les bénéfices qu'ils en tirent. Etudier le latin et le grec, c'est pour le jeune élève - à travers les mots - s'engager inconsciemment, dans une réflexion sur la langue.
           Alors que tous les feux sont au rouge, que notre Ecole s'enfonce dans la médiocrité, que les étudiants étrangers, attirés naguère par nos Universités, s'en éloignent, que nos propres étudiants préfèrent s'expatrier, que les effectifs de l'Ecole laïque s'appauvrissent au bénéfice de l'Ecole libre, que se développe un système parallèle payant pour les familles fortunées... on nous dit que la réforme actuelle, en particulier celle des collèges, est un facteur «  de plus grande égalité des chances », qu'elle est « un gage de réussite scolaire » - il est évident que ces arguments sont fallacieux. Sans tomber dans la critique excessive avancée par certains : demain vos enfants ne sauront plus lire, ni écrire, ni compter, ou l'école de demain, une école de crétins, il y a encore place pour une critique positive, pour une recherche des causes profondes de cet acharnement pseudo-pédagogique à vouloir déstructurer l'Education Nationale.

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  • A propos des 10 propositions Julliard pour reconstruire l'école

    singe_reflechi.jpgDans la revue Marianne, (n°49 du 26 juin) l'éminent Jacques Julliard présente « 10 propositions pour reconstruire l'école » ; le titre est ambigu dans le mesure où « école » renvoie à enseignement élémentaire, alors que les propositions concernent l'ensemble du système scolaire. Si nous sommes pleinement d'accord sur le constat de l'effondrement de l'Education nationale et sur l'ensemble des propositions, nous nous permettons quelques observations. L'auteur précise que c'est d'abord « l'enseignement primaire qu'il faut remettre sur ses pieds ». C'est une évidence. Si l'Education nationale est comparable à un édifice qui menace de s'écrouler, ce n'est pas en remettant une couche de peinture au 1er étage (collège) ou au 2ème (lycée) que l'on sauvera l'édifice. C'est pourquoi nous concentrons nos remarques sur l'enseignement primaire, passant sous silence les propositions7,8,9. La 10ème comme la 1ère nous semble excessive. Notre gouvernance est républicaine et, même si nous considérons personnellement que sa démocratie est inachevée, notre Education Nationale est capable de se réformer « de l'intérieur » sans avoir l' obligation d'user de procédés marginaux qui pourraient entraîner d'autres mesures encore plus drastiques.et anti-républicaines. N'ajoutons pas au marasme ambiant une autre source de déconstructions potentielles.

     

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