Comment comprendre les contradictions d'un pseudo réchauffement anthropique !
Le Roy Ladurie a, le premier, jeté les bases d'une étude historique du climat. La méthode était originale et irréprochable du point de vue scientifique. Ses travaux ont été publiés en 1967, dans la collection Champs chez Flammarion. C'est à cette époque que j'ai pris connaissance de cette oeuvre, qui m'a enthousiamé et que j'ai pu suivre année après année dans les revues scientifiques.
Le sommet du réchauffement climatique a eu lieu au début du 13ème siècle, vers les années 1217,18, 19. A cette époque le réchauffement a été considérable. Les carottages dans l'arctique montre que des fotêts entières existaient à plus de 100km à l'intérieur de la banquise actuelle. La rivière Sarthe, au lit profond était à sec, Les glaciers alpins avaient considérablement fondu découvrant des prairies verdoyantes qui faisaient le bonheur des paysans. De l'Espagne à la Hongrie des nuées de sauterelles venues d'Afrique avaient ravagé une partie de l'Europe. Or, à cette époque il n' y avait pas d'activités industrielles. C'était le début des fameux essartements, le défrichage des forêts pour les mettre en culture. Et ce travail se faisait à la sueur des bûcherons avec pour tout matériel, des haches et des scies.. Le Roy Ladurie s'est également penché sur la période glaciaire qui a suivi 3 siècles après au 18ème siècle, vers les annéees 1715, 16, 17. Nous-même, nous avons consulté les cahiers de catholicité du curé de Vicq-sur-Nahon (en Berry) qui se désolait de ne plus avoir de vin de messe car il avait gelé dans les tonneaux et le prix du vin était si élevé qu'il ne pouvait en acheter. Il relatait également les chênes centenaires qui éclataient la nuit dans un fracas épouvantable.
Peut-on comparer le réchauffement du climat au 13ème siècle et celui d'aujourd'hui ? Le pic de chaleur a eu lieu vers les années 2016, 17, 18, ce pic est aujourd'hui passé et les nuits sont si fraîches que nous avons dû ajouter une couverture sur nos lits. Or nous sommes sous l'emprise d'un fort développement industriel.. Ansi il apparaît que les activités industrielles n'accentuent pas le réchauffement climatique , bien au contraire, les hivers sont doux et les étés tièdes !
Il suffit de constater que ces prévisions fausses sont l'objet du GIEC: les climatologues ont, au début, collaboré avec le Giec, ils en sont tous partis aujjourd'hui. Mais ceci est une autre histoire qui fera l'objet d'une autre note.
Les activités industrielles (anthropiques, donc) ne favorisent pas les excès climatiques, bien au contraire, ils les tempèrent !