Dans le blog précédent je me suis élevé contre le pseudo réchauffement climatique anthropique. Ce sont là les affirmations du Giec composé de journalistes et d'idéologues politiquement engagés, que les climatologues ont abandonné, en particulier les historiens du climat, j'en dirai autant aujourd'hui sur le problème de la pluviométrie.
A une époque lointaine que peu de personnes sont encore témoins nous apprenions que le climat de Tours était un climat océanique doux et que bon an, mal an, il tombait, à Tours, 728 mmm de pluie répartis sur 160 jours environ. " le département d'Indre-et-Loire est (...) situé dans la zone tempérée sensiblement à égale distance du pôle et de l'équateur. Tours est à 230 km de l'Océan, l'influence bienfaisante de la mer serait médiocre si elle n'était facilitée par l'agencement du relief et la dominance des vents océaniques. En raison des faibles écarts qui existent entre les vallées et les plateaux, l'altitude n'influe pas sur le climat (...) La Touraine jouit d'un climat modéré. Les vents du Sud-Ouest, Ouest et Nord-Ouest soufflent surtout pendant l'automne, l'hiver et le printemps; ils sont généralement faibles, tièdes et humides. La température est douce et constante (...) La température est remarquable par sa constance et sa stabilité. La neige est assez rare et ne subsiste pas ordinairement sur le sol. A Tours la température annuelle est de 11°50 supérieure de 1° à celle de Paris. Les pluies sont moyennes et tièdes, elles caractérisent un climat de type semi-océanique. A son climat privilégié la Touraine doit sa répution de Jardin de la France." Tel est l'enseignement que nous avons reçu de nos maîtres, d'après le manuel "Petite géographie du département d'Indre-et-Loire" rédigée par E.Millet instituteur aux éditions Arrault, (Tours) Cette édition de 1924(?) était agrémentée de dictons, d'anecdotes, qui personnellement faisaient ma joie d'élève et que j'ai repris à mon tour lorsque je fus enseignant., et je ne pense pas que les enseignants d'aujourd'hui soient en désaccord. Certes il peut y avoir d'une année l'autre de légères modifications, mais elles sont minimes. Il est erroné d' affirmer que la pluviosité que nous subissons actuellement serait dû au réchauffement climatique. Le réchauffement est derrière nous, comme je l'ai montré dans la note précédente, la sécheresse que nous avons subie pendant de longs mois est maintennant compensée par une saison pluvieuse. Il n'y a là rien que de très naturel.