Les prévisions alarmistes du Giec reprennent cette fois celles d'une agence nationale atmosphérique américaine (NOAA): le mois de juillet a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre. Cette affirmation amplifiée par les médias, les réseaux sociaux, l'absence d'esprit critique entraîné par l'écroulement de l'Education Nationale laissent penser que depuis la plus haute antiquité les températures n'ont été aussi élevées (ce qui est faux) et stupide intellectuellement.